Les syndicats de gouvernement français demandent notre fermeture !
Via Le Monde, les 5 syndicats reprochent à notre média (hébergé par le syndicat polonais Solidarnosc) « sa complaisance à l’égard de Marine Le Pen et d’Eric Zemmour ».
D’abord précisons que j’ai démontré, à plusieurs reprises, que l’auteur de l’article (correspondant du journal Le Monde en Pologne) avait inventé de fausses informations de A à Z sur la Pologne. Nous avons transmis les preuves au journal Le Monde, qui n’en a rien fait. Enfin à aucun moment Le Monde ne nous a contacté pour obtenir notre réaction.
Pour revenir à notre affaire, ce que réclament, dans les faits, ces syndicats c’est la fermeture de notre média français Tysol et la censure du 1er média indépendant dans l’ex-bloc soviétique : Tygodnik Solidarnosc. Ce qui en soit est déjà extrêmement grave. Mais en plus ils menacent l’hébergeur de notre média. Si nous ne nous soumettons pas à leur chantage, ils exigent l’exclusion du plus légendaire des syndicats européens, celui qui a abattu la dictature communiste. Ces syndicats s’attaquent aux deux principales institutions polonaises qui ont combattu pour rétablir la liberté d’expression et la démocratie dans le pays de Jean-Paul II.
Ils critiquent le « parti pris politique » de Tysol France, celui-ci étant contraire aux valeurs et « au principe d’indépendance du mouvement syndical ». Est-ce cette indépendance qui a poussé ces syndicats français à appeler à ne pas voter Le Pen ? Est-ce cette indépendance qui les a poussé à appeler à voter Mitterrand ? Ou est-ce leur déférence à l'égard des élites progressistes?
L’hypocrisie des leaders syndicaux va jusqu’à déclarer que nous trahissons le combat mené il y a 40 ans. Philippe Martinez, le numéro un de la CGT, ose même affirmer : « votre positionnement actuel est (…) une insulte à celui que vous adoptiez il y a quarante ans ».
Solidarnosc, contrairement aux syndicats français, n’a pas tourné le dos aux classes populaires pour pouvoir se soumettre au progressisme. Nous, nous avons exactement les mêmes idées qu’il y a 40 ans, quand notre syndicat chrétien, anti-communiste, antimarxiste, anti-léniniste, anti-trotskiste, anti-maoïste, anti-staliniste, exigeait la souveraineté de la nation polonaise, pour que son peuple puisse instaurer la démocratie.
La CGT de Martinez, elle, il y a 40 ans était financée par l’URSS. Pendant que les membres de Solidarnosc se faisaient arrêter, torturer, assassiner, elle était du côté des bourreaux, de la dictature.
Et il y a 40 ans, la CGT, la CFDT et consorts, au moins défendaient les intérêts des travailleurs. Vous les avez vu, ces syndicats, sous le mandat de Macron ? Où étaient-ils sous le Covid ? Ils ne se préoccupent plus du sort et des droits des salariés français, leur priorité n’est plus le pouvoir d’achat, les salaires, l’emploi. Non. Leur priorité, aujourd’hui, c’est de demander la censure d’un média qui ne respecte pas le politiquement correct.
La vérité est que ce sont la CGT et la CFDT qui ont changé, qui ont trahi, qui préfèrent faire les beaux dans les salons parisiens, être les supplétifs de la Nomenklatura. Aujourd’hui la grande majorité des classes populaires sont du côté de Marine Le Pen et d’Éric Zemmour.
Ils préfèrent, comme Martinez, participer à la manifestation contre l’islamophobie aux cris de « Allah Akbar ». Manifestation réalisée par l’organisation islamiste CCIF dissoute par Darmanin suite à l’assassinat de Samuel PATY. Il était où, Martinez, quand ses gars de la CGT se faisaient taper par les Black Blocks ce 1er mai ? A déblatérer les mêmes discours politiquement corrects que Facebook, Nutella, Soros et autres milliardaires à la TV ?
Désormais, la priorité de ces dirigeants c’est de réciter les crédos progressistes en échange de financements publics et d’argent pour leurs comités d’entreprise. Leur principale préoccupation c’est de faire la promo des idées sociétales de Coca cola, Ikea, Bill Gates : un monde sans frontière, mis au pas par le politiquement correct.
Il est temps que tout le monde se rende compte en France que nous entrons dans une société totalitaire où le progressisme règne partout via le politiquement correct : haute administration, Etat, partis politiques, Cours suprêmes, éducation nationale, grands groupes, 95% des ONG, médias de masse et maintenant les syndicats. Désormais toute opposition au progressisme et ses crédos est immédiatement déclarée illégitime. Cette attaque contre la liberté d’expression et le légendaire syndicat Solidarnosc en est une preuve supplémentaire, s’il en fallait. Réveillez-vous. Ne reculez plus d’un pas, en aucune circonstance, en aucun endroit.